Un exemple de plat avec des aliments "durs à cuire" (les cuisses de volaille) :
Pour cette recette, j'ai commencé à 8h10 par réunir les ingrédients (tout bio et plus ou moins local) :
2 cuisses de pintade
1 gros oignon
3 courgettes
1 poivron rouge
2 tomates,
un tout petit piment frais
1 verre de riz complet (du riz rouge de Camargue)
J'ai fait revenir dans un peu d'huile d'olive l'oignon haché et les cuisses de pintade, puis j'ai baissé le feu et mis le couvercle.
Pendant ce temps, j'ai détaillé les légumes.
J'ai ajouté les tomates, puis le riz, les courgettes et le poivron et le piment (je le laisse entier).
Après avoir complété avec 3 verres d'eau, salé, j'ai remis le couvercle.
Cela m'a pris 10 minutes sans se presser.
Le plat a été porté à ébullition et a cuit 10 minutes doucement.
Ensuite, c'est là qu'il faut regarder où se trouve le niveau de liquide, il faudrait qu'il arrive presque au niveau des aliments (rajouter un peu d'eau si besoin et reporter à ébullition).
Placer aussitôt la cocotte fermée ( là c'est une cocotte minute de récup que je ne fais pas monter en pression mais à ce stade je la verrouille) dans la marmite norvégienne.
A 12 h 30, le plat était encore brûlant et tout était parfaitement cuit, à part quelques grains de riz qui n'avaient pas dû baigner assez dans le liquide, mais ce petit côté croquant n'est pas déplaisant.
Ce qu'il y a de bien avec cette forme de cuisson, c'est que les légumes ne sont pas réduits en bouillie, les saveurs sont préservées, on ne consacre que peu de temps à la cuisine ( là ça n'a pris qu'une vingtaine de minutes de cuisson sur le feu au lieu d'au moins le double en version mijotage ), on peut vaquer à ses occupations et au moment du repas, le plat est prêt !
Placer aussitôt la cocotte fermée ( là c'est une cocotte minute de récup que je ne fais pas monter en pression mais à ce stade je la verrouille) dans la marmite norvégienne.
(couvercle d'origine et poids)
A 12 h 30, le plat était encore brûlant et tout était parfaitement cuit, à part quelques grains de riz qui n'avaient pas dû baigner assez dans le liquide, mais ce petit côté croquant n'est pas déplaisant.
Ce qu'il y a de bien avec cette forme de cuisson, c'est que les légumes ne sont pas réduits en bouillie, les saveurs sont préservées, on ne consacre que peu de temps à la cuisine ( là ça n'a pris qu'une vingtaine de minutes de cuisson sur le feu au lieu d'au moins le double en version mijotage ), on peut vaquer à ses occupations et au moment du repas, le plat est prêt !